-
-
-
-
-
-
Poème ivresse
Laisses-toi emporter par l'ivresse,
Sens sur ta peau mes douces caresses.
Le plaisir monte en toi, quel saveur !
Quand ton corps frémit de bonheur !
Fermes les yeux, nous sommes deux,
Femme d’amour, unis à moi en ce jour.
Laisse ton souffle, ta voix me supplier,
Nos corps brûlants par ce lien sont liés.
Crie ton plaisir dans le noir de la nuit,
De la volupté je récolte tous les fruits.
Au delà des étoiles monte mon épicurisme,
Liesse sensuelle pour mon romantisme.
Bertino le Pascalois
Le Chat à la Rose
votre commentaire -
-
Poèmes
Chanson d’automne (extrait)
Déjà plus d’une feuille sèche
Parsème les gazons jaunis ;
Soir et matin, la brise est fraîche,
Hélas ! les beaux jours sont finis !
On voit s’ouvrir les fleurs que garde
Le jardin, pour dernier trésor :
Le dahlia met sa cocarde
Et le souci sa toque d’or.
La pluie au jardin fait des bulles ;
Les hirondelles sur le toit
Tiennent des conciliabules :
Voici l’hiver, voici le froid !
(...)
Théophile GAUTIER (1811-1872) Émaux et camées
Poème
Matin d’octobre
C’est l’heure exquise et matinale
Que rougit un soleil soudain.
A travers la brume automnale
Tombent les feuilles du jardin.
Leur chute est lente. On peut les suivre
Du regard en reconnaissant
Le chêne à sa feuille de cuivre,
L’érable à sa feuille de sang.
Les dernières, les plus rouillées,
Tombent des branches dépouillées ;
Mais ce n’est pas l’hiver encore.
Une blonde lumière arrose
La nature, et, dans l’air tout rose,
On croirait qu’il neige de l’or.
François COPPÉE (1842-1908) Le Cahier rouge
1 commentaire -
Poème
Aimons toujours !
Aimons toujours ! Aimons encore !
Quand l'amour s'en va, l'espoir fuit.
L'amour, c'est le cri de l'aurore,
L'amour c'est l'hymne de la nuit.
Ce que le flot dit aux rivages,
Ce que le vent dit aux vieux monts,
Ce que l'astre dit aux nuages,
C'est le mot ineffable : Aimons !
L'amour fait songer, vivre et croire.
Il a pour réchauffer le cœur,
Un rayon de plus que la gloire,
Et ce rayon c'est le bonheur !
Aime, afin de charmer tes heures !
Afin qu'on voie en tes beaux yeux
Des voluptés intérieures
Le sourire mystérieux !
Aimons-nous toujours davantage !
Unissons-nous mieux chaque jour.
Les arbres croissent en feuillage ;
Que notre âme croisse en amour !
Victor Hugo
(1802-1885)
1 commentaire -
L'AMOUR, EN UN BEAU TEXTE
L’amour est un merveilleux sentimentQue l’on doit respecter à tout momentC’est un doux rayon qui réchauffe nos cœursA notre vie, il donne un brin de chaleurUne raison d’être et beaucoup de valeurL’amour est un mariage de couleursUne panoplie de senteurs et de saveursUne myriade de douceur et de fraîcheurUne mélodie de passion et de ferveurUne symphonie jouée avec grand honneur.L’amour mérite des sacrificesPour pouvoir goûter à ses délicesIl faut savoir écouter son cœurSinon sans nulle attention il meurtIl pousse au gré d’éros le magnifiqueRésiste grâce à Venus la magique.Oui, l’amour est une magieQui nous donne de l’énergieC’est une superbe flammeQui fait danser corps et âmeIl faut avoir l’art de la raviverPar sa splendeur, nous sommes attirésSont superbes toutes ses paradesBelles ses aubades, sérénades…Quand il arrive, l’amour se manifestePar les étincelles des regards et gestes.L’amour mérite des sacrificesPour pouvoir goûter à ses délicesIl faut savoir écouter son cœurSinon sans nulle attention il meurtIl pousse au gré d’éros le magnifiqueRésiste grâce à Venus la magique.L’amour est un bonheurQui égaie notre cœurIl fascine et éblouitQuand il est épanouiPour en être fier et raviIl faut le maintenir en vieLe sauvegarder et s’engagerÀ le bien traiter et l’aspergerAvec dextérité et délicatesseDe bonnes doses d’estime et de tendresse.Marie .C
1 commentaire -
Le 1er mai, est un jour férié, c'est la fête du travail.
Depuis 1947, le 1er mai est un jour chômé et payé en France.
Traditionnellement ce jour est consacré aux défilés des syndicats dans les grandes villes.
C'est aussi un jour de fête pour le muguet, car la tradition populaire veut qu'on offre un brin de muguet comme porte bonheur.
votre commentaire -
Poème d'amour
Je t'offre mon amour.
Mon amour.
Au jardin de nos rêves
Nous nous retrouvons chaque nuit,
Du crépuscule à l'aube
Nos deux vies ne font qu'une !
Ta main qui caresse mon visage
Et se perd dans mes cheveux,
Tes lèvres qui cherchent les miennes,
Ta voix qui murmure mon prénom...
Et moi qui succombe à ton charme,
Qui t'offre mon amour,
Mon corps et mon âme,
Pour un seul de tes sourires...
Et toi qui t'abandonnes,
Qui remets ta vie entre mes bras,
Pour ressentir un seul instant
La chaleur de ma main sur ta peau...
Puis ton regard d'océan
Capture le mien dans la pénombre,
La lune pour seul témoin
De notre union !
Poeme d'amour court
L'Instant Présent
Tu es entré dans mon coeur
comme le soleil dans une journée,
car tu as complètement changer ma vie.
Maintenant je n'ai qu'une seule peur
celle de te perdre...
Mais pourtant,
je m'accroche à chaque moment
dont tu est présent
qui sera pour moi inoubliable
pour le reste de ma vie.
votre commentaire -
Poème
Premier sourire de printemps
Tandis qu’à leurs œuvres perverses
Les hommes courent haletants,
Mars qui rit, malgré les averses,
Prépare en secret le printemps.
Pour les petites pâquerettes,
Sournoisement lorsque tout dort,
II repasse des collerettes
Et cisèle des boutons-d’or.
Dans le verger et dans la vigne,
II s’en va, furtif perruquier,
Avec une houppe de cygne,
Poudrer à frimas l’amandier.
La nature au lit se repose ;
Lui, descend au jardin désert
Et lace les boutons de rose
Dans leur corset de velours vert.
Tout en composant des solfèges
Qu’aux merles il siffle à mi-voix,
II sème aux prés les perce-neige
Et les violettes au bois.
Sur le cresson de la fontaine Où le cerf boit,
l’oreille au guet,
De sa main cachée il égrène Les grelots d’argent du muguet.
Sous l’herbe, pour que tu la cueilles,
II met la fraise au teint vermeil,
Et te tresse un chapeau de feuilles Pour te garantir du soleil.
Puis, lorsque sa besogne est faite,
Et que son règne va finir,
Au seuil d’avril tournant la tête,
II dit : « Printemps, tu peux venir ! »
Théophile Gautier (1811-1872)
votre commentaire -
-
-
Mon amour. Au jardin de nos rêves
Nous nous retrouvons chaque nuit, Du crépuscule à l'aube
Nos deux vies ne font qu'une ! Ta main qui caresse mon visage
Et se perd dans mes cheveux,
Tes lèvres qui cherchent les miennes,
Ta voix qui murmure mon prénom... Et moi qui succombe à ton charme,
Qui t'offre mon amour, Mon corps et mon âme,
Pour un seul de tes sourires...
Et toi qui t'abandonnes, Qui remets ta vie entre mes bras,
Pour ressentir un seul instant La chaleur de ma main sur ta peau...
Puis ton regard d'océan Capture le mien dans la pénombre,
La lune pour seul témoin De notre union !
1 commentaire -
Poème
Arrive l'automne,
Allons cueillir des pommes
Dans un magnifique verger
Durant un matinée ensoleillée.Arrive l'automne,
Comme la récolte est bonne
Les légumes sont ramassés
Et prêts à mangés.Arrive l'automne,
La nature nous étonne
L'air devient plus frais
Mais son décor reste coquetLes arbres deviennent multicolores
votre commentaire -
-
-
Bonne fête les amours...
Ton sourire est mon soleil..
Ta tendresse est merveille...
Tu es la lumière qui m'illumine,
Une étoile qui me fascine...
Contre toi, je suis libéré(e)...
Dans tes bras, j'aime m'envoler...
Avoir l'impression d'avoir des ailes,
La sensation de toucher le ciel...
Il y a eu des temps magiques,
Des instants romantiques...
Des périodes difficiles...
Des chagrins, des moments fragiles...
Mais voilà un petit bout de chemin,
Que nous avançons main dans la main...
Et pour la Saint Valentin, fête des amoureux,
Ma plume t'écrit ces mots heureux...
Jardinons notre amour avec tendresse...
Pour que notre relation jamais ne cesse...
Valérie S. (Art et Poèmes)
3 commentaires -
-
Bonne année mes amies , amis du net
Que cette année nouvelle 2015
Que du bonheur, santé , joie et plein d'amour
Vôtre amie qui va revenir vers vous
Après une année de Peine et Douleur
Gros bisous
Jacotte85
votre commentaire -
La rose-thé
La plus délicate des roses
Est, à coup sûr, la rose-thé.
Son bouton aux feuilles mi-closes
De carmin à peine est teinté.
On dirait une rose blanche
Qu'aurait fait rougir de pudeur,
En la lutinant sur la branche,
Un papillon trop plein d'ardeur.
Son tissu rose et diaphane
De la chair a le velouté ;
Auprès, tout incarnat se fane
Ou prend de la vulgarité.
Comme un teint aristocratique
Noircit les fronts bruns de soleil,
De ses soeurs elle rend rustique
Le coloris chaud et vermeil.
Mais, si votre main qui s'en joue,
A quelque bal, pour son parfum,
La rapproche de votre joue,
Son frais éclat devient commun.
Il n'est pas de rose assez tendre
Sur la palette du printemps,
Madame, pour oser prétendre
Lutter contre vos dix-sept ans.
La peau vaut mieux que le pétale,
Et le sang pur d'un noble coeur
Qui sur la jeunesse s'étale,
De tous les roses est vainqueur !
Théophile GAUTIER (1811-1872)
5 commentaires -
-
***************************
Poème
Les Soleils de Septembre
Sous ces rayons cléments des soleils de septembre
Le ciel est doux, mais pâle, et la terre jaunit.
Dans les forêts la feuille a la couleur de l’ambre ;
L’oiseau ne chante plus sur le bord de son nid.Du toit des laboureurs ont fui les hirondelles ;
La faucille a passé sur l’épi d’or des blés ;
On n’entend plus dans l’air des frémissements d’ailes :
Le merle siffle seul au fond des bois troublés.La mousse est sans parfum, les herbes sans mollesse ;
Le jonc sur les étangs se penche soucieux ;
Le soleil, qui pâlit, d’une tiède tristesse
Emplit au loin la plaine et les monts et les cieux.Les jours s’abrègent ; l’eau qui court dans la vallée
N’a plus ces joyeux bruits qui réjouissaient l’air :
Il semble que la terre, et frileuse et voilée,
Dans ses premiers frissons sente arriver l’hiver.Ô changeantes saisons ! ô lois inexorables !
De quel deuil la nature, hélas ! va se couvrir !
Soleils des mois heureux, printemps irréparables,
Adieu ! ruisseaux et fleurs vont se taire et mourir.Mais console-toi, terre ! ô Nature ! ô Cybèle !
L’hiver est un sommeil et n’est point le trépas :
Les printemps reviendront te faire verte et belle ;
L’homme vieillit et meurt, toi, tu ne vieillis pas !Tu rendras aux ruisseaux, muets par la froidure,
Sous les arceaux feuillus leurs murmures chanteurs ;
Aux oiseaux tu rendras leurs nids dans la verdure ;
Aux lilas du vallon tu rendras ses senteurs.Ah ! des germes captifs quand tu fondras les chaînes,
Quand, de la sève à flots épanchant la liqueur,
Tu feras refleurir les roses et les chênes,
Ô Nature ! avec eux fais refleurir mon cœur !Rends à mon sein tari les poétiques sèves,
Verse en moi les chaleurs dont l’âme se nourrit,
Fais éclore à mon front les gerbes de mes rêves,
Couvre mes rameaux nus des fleurs de mon esprit.Sans l’ivresse des chants, ma haute et chère ivresse,
Sans le bonheur d’aimer, que m’importent les jours !
Ô soleils! ô printemps ! je ne veux la jeunesse
Que pour toujours chanter, que pour aimer toujours !Auguste Lacaussade, Poèmes et Paysages
2 commentaires -
Un p'tit coup d'oeil sur mon nouveau blog
http://lynette.eklablog.fr
Poème
Je T'Aime
J'étais seule au monde quand j'ai croisé ton chemin.
Tel un soleil dans la nuit tu as illuminé ma vie.
Et au premier instant où tu as pris ma main,
Tout mon être et tout mon amour tu as conquis...
Quand je suis avec toi,
Quand je pense à toi,
Ma vie devient plus belle...
Malgré mes problèmes,
Je souris quand même
Dès que je croise tes prunelles.
Par tes baisers et tes caresses,
Par ta passion et ta tendresse,
Tu as ensorcelé mon coeur...
Tu as effacé mes souffrances
Et rallumé en moi la foi et l'espérance
À la vie et au bonheur!
Elles disent que le Prince charmant
N'existe que dans les romans.
Quand je te vois, je n'en crois rien!
Je suis heureuse et comblée
D'avoir la chance de t'aimer
Et de partager ton chemin...
- Domoina Ratovozanany -
2 commentaires -
Poème
Chanson d'été
Le soleil brûlant
Les fleurs qu’en allant
Tu cueilles,
Viens fuir son ardeur
Sous la profondeur
Des feuilles.Cherchons les sentiers
A demi frayés
Où flotte,
Comme dans la mer,
Un demi-jour vert
De grotte.Des halliers touffus
Un soupir confus
S’éléve
Si doux qu’on dirait
Que c’est la forêt
Qui rêve…Chante doucement ;
Dans mon coeur d’amant
J’adore
Entendre ta voix
Au calme du bois
Sonore.L’oiseau, d’un élan,
Courbe, en s’envolant,
La branche
Sous l’ombrage obscur
La source au flot pur
S’épanche.Viens t’asseoir au bord
Où les boutons d’or
Foisonnent…
Le vent sur les eaux
Heurte les roseaux
Qui sonnent.Et demeure ainsi
Toute au doux souci
De plaire,
Une rose aux dents,
Et ton pied nu dans
L’eau claire.Albert Samain, Au jardin de l’infante
6 commentaires -
Poème Le baiser
Un seul baiser
Mon coeur plane dans la vallée de songes
Comme sous un ciel bleu
Dans les prunelles océanes de ses yeux
Une lumière douce dilatée dans l'aurore
Son regard de charme s'invite aux baisers des roses
Sur un déluge de pluies de lumières
Comme une aurore boréale de diamants
Dans le feu flamboyant de son amour
Mon âme pénètre dans son coeur de sang
Comme dans une coupe de cristal de vin
Qui coule sur le long de mon corps
Sur ma chair opale
Ma peau nacrée comme des perles de soleil
Frisonne comme une bise de printemps
Les pétales voltigent, dansent, chantent
Dans mon corps enfièvré
M'entend-t-il?
Mon bien-aimé
Mon amour de lumière
Sur mon corps couvert d'or de pétales de roses
Eclose sur ma peau brumeuse
Je sens ses caresses, ses tendresses
Parcourent sur mon jardin d'éden
Mon corps comme un bouquet de violettes
Chante dans le firmament
Parfume l'univers des étoiles
Comme une traînée de saphirs, de rubis
Brillent de mille feux
Qui m'amène dans ses long bras de chevrefeuille
Qui m'entoure sous l'écume d'une fontaine
Au murmure de feuilles qui tourbillonnent
Dans le royaume de mille et une nuits
Ses fines mains m'envoûtent, tissent
Des filaments d'or de roses et de violettes
Comme une toison d'argent de son corps
9 commentaires -
Voici pour toi la fleur du printemps.
Quelques brins de bonheur
Son destin sera entre tes mains.
En ce jour du 1er mai
Pour t’apporter, chance sur ces longs chemins.
Je t'offre ce poème, cet ornement.
C’est bien peu
Mais c'est avec mon coeur
Et bien sincèrement.
Que je te tends ce bouquet parfumé.
Si petit avec des milliers de brins.
Il me rappelle un si joli visage.
Un sourire beau et reposant.
Comme ce jour de 1er mai.
Si doux, si pur ; dans ce paysage.
Un don de la nature tout simplement.
Ravivée par la fraîcheur du matin.
Voila pour toi quelques brins de muguet.
La fleur de l’amitié venue des temps lointain.
Cueilli dans les champs, les prés, au bord des rivages.
Je t’offre la lumière de la réalité.
Voici pour toi la fleur tu printemps
Un bouquet aromatisé du bonheur.
Conquis par l’histoire de l’humanité.
3 commentaires